De : Francis Blanche & Pierre Dac
Imaginé et interprété par : Jean-François Vinciguerra
Piano : Jean-Marc Bouget
RÉCITAL FRAPPADINGUE
Irrésistible comédien, incorrigible farceur, figure emblématique de la scène et du cinéma français des années 1950 et 1960, ses canulars téléphoniques ou ses jeux de mots restent en mémoire, FRANCIS BLANCHE qui était un fin lettré, féru de syntaxe, avait écrit des chansons pour Piaf, Trenet, les Quatre Barbus ou les Frères Jacques, et était réputé pour ses adaptations « transgressées » de grands standards, certaines en compagnie de son complice PIERRE DAC.
Enregistré pour la télévision (« Musique & Compagnie » – France 3 – Alain Duault), créé au Théâtre de La Potinière (Pépinière Opéra – Paris), donné, entre autres, au Studio de l’Opéra national de Paris-Bastille,
ce programme, telle une schubertiade frappadingue, a été imaginé par JEAN-FRANÇOIS VINCIGUERRA, artiste aux multiples facettes, baryton-basse, comédien, nous entraînant dans un récital loufoque, en compagnie, du pianiste JEAN-MARC BOUGET où une symphonie beethovénienne devient un hymne à la Pince à Linge, une Truite taquine celle de Schubert, un air de Figaro soutien aux barbiers en mal de clientèle… pour finir par payer un débit de lait, débit de l’eau à l’addition calculée par Franz Liszt ! Cette folie n’oublie pas de nous inviter à un inquiétant Idylle en Forêt, à la rencontre de la Fille d’un Gangster ou répondre à une question quasi shakespearienne concernant un Carton à Chapeau -tout lien avec un Théorème existant ne serait que pure coïncidence-, qui nous prouve au final que tout Ça tourne pas rond dans ma petite tête pour le plus grand plaisir du spectateur !
« Jean-François Vinciguerra a tous les dons. Une mimique malicieuse, un oeil coquin (…) il est jupitérien, diablotin, benêt ou cavalier, bref qu’il chante Le complexe de la Truite (Schubert) ou La Pince Linge (Beethoven) le geste est juste, l’intention drôlissime et le résultat est là. Jamais il ne rate sa cible. Fous rires du public. »
Marion Thebaud / Le Figaro Madame
« En ces temps troublés, le droit de rire et de faire rire reste un combat toujours d’actualité. Un réjouissant spectacle, volontairement très décalé dans cette enceinte sacralisée de l’Opéra du Grand Avignon, et longuement applaudi par son public. »
Jean-Pierre Martinez / libretheatre.fr